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VU DANS LA PRESSE


Samedi 27 Décembre 2008 SUD OUEST

ÉCOLOGIE. L'association Bassin d'Arcachon Écologie, présente sur tous les fronts de la défense de l'environnement, demande une extension de son agrément à tout le territoire du Bassin et du Val de l'Eyre
« C'est notre rôle de donner des pistes »


Françoise Branger, vigie de l'environnement.( PHOTO B.D.)
Bassin d'Arcachon Écologie, qui fêtera ses 20 ans l'an prochain - « avec des gâteaux », plaisante sa présidente Françoise Branger -, poursuit ses nombreuses actions en faveur de la défense de l'environnement, comme en témoigne le - très - détaillé rapport d'activités présenté lors de l'assemblée générale de l'association qui vient de se tenir (1).
« 2009 sera le suivi de tous les dossiers, résume Françoise Branger. Rien ne se résout en quelques mois ; il faut souvent des années. »
La biodiversité
Parmi les dossiers « majeurs » que suit BAE, il y a le Scot (Schéma de cohérence territoriale) : « Avec le choix de l'urbanisation tout autour du bassin d'Arcachon et dans le Val de l'Eyre se joue l'ensemble de la protection de l'environnement. »
L'enjeu du milieu marin retient également toute son attention : « L'État fait des efforts, on en espère des résultats. »
Enfin, il y a la Clis (Commission locale d'information et de suivi) sur la qualité des eaux du bassin d'Arcachon : « Nous avons pu obtenir des réponses et des données précises. Nous avons apprécié la transparence des rapports », se félicite à son tour Françoise Branger.
Avec sa triple casquette de présidente de BAE, vice-présidente de la Ceba (la Coordination Environnement du bassin d'Arcachon, qui regroupe une quinzaine d'associations), et un des quatre coordinateurs du collectif Aquitaine contre les rejets en mer, Françoise Branger est, d'une manière plus générale, une vigie de la « protection de la biodiversité » : « C'est un des grands enjeux de ce siècle. Elle s'est effondrée partout. La France est signataire de l'objectif 2010 pour stopper son érosion. C'est notre rôle d'association de donner des pistes pour un meilleur respect de l'environnement».
L'agrément
Tout autour du Bassin, BAE reste vigilant sur un nombre important de dossiers comme le port du Betey à Andernos, le futur PLU de La Teste-de-Buch, la protection de Pissens et Laurey à La Teste, les campings au pied de la dune du Pilat... L'association participera d'ailleurs à la journée « L'Eau en partage », organisée par le Siba, le 12 mars prochain, à Arcachon : « Il faut faire coller l'humain et l'environnement. C'est mieux en paroles, mais dans les faits, il y a encore beaucoup à faire. »
« Nous sommes très sollicités. Nous avons aussi plus de soutiens que d'adhérents », sourit Françoise Branger dont le « principal souci » vient des actions judiciaires : « On le fait pour faire respecter le contrôle de légalité, mais ça nous rend triste, il vaudrait mieux une meilleure protection en amont. »
Toujours est-il que, pour faire reconnaître une réalité de terrain, l'association a demandé l'extension de son agrément à l'ensemble du territoire bassin d'Arcachon et Val de l'Eyre : « C'est une unité territoriale cohérente. Lorsqu'on évoque la protection de l'eau, par exemple, on ne peut pas se limiter aux quatre communes du Sud-Bassin, ni à celles qui entourent le Bassin, il faut aussi englober le Val de l'Eyre puisque la Leyre se jette dans le Bassin. »
(1) Françoise Branger, reconduite à la présidence, est entourée de Michel Daverat (mer et littoral), Pierre Vuilleumier (urbanisme) et Jean-Paul Dagnelie (trésorier).
Auteur : BERNADETTE DUBOURG
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VU dans la presse

Lundi 15 Décembre 2008 SUD OUEST


ENVIRONNEMENT. La Ceba dresse un bilan positif de l'après Grenelle. Tout en restant vigilante sur les sujets sensibles du lieu
« Une évolution dans le sens de l'écologie »


La Ceba reste vigilante quant aux aspects écologiques à défendre sur le Bassin.
Jean Mazodier affiche son optimisme. À l'issue de son assemblée générale, jeudi soir à Gujan-Mestras, le président de la coordination environnement du bassin d'Arcachon (Ceba) confesse que 2008 a été une année importante.
« L'an un du post Grenelle de l'environnement », dit-il, en estimant que l'administration et les services de l'État suivaient une « très bonne évolution ». Comprenez une « très bonne évolution dans le sens de l'écologie », cheval de bataille de la coordination qui rassemble 15 associations de défense de l'environnement.
Prés salés et Quinconces
Associée à la réflexion ayant précédée la rédaction du schéma de mise en valeur de la mer (SMVM), la Ceba s'est également trouvée invitée à participer au porté à connaissance du Schéma de cohérence territoriale (Scot), aux discussions du conseil de développement du Pays (Codev) ou plus récemment au débat portant sur le parc marin. « Politiques, milieux institutionnels et associations convergent », résume Jean Mazodier, qui ne gomme pas pour autant les batailles qu'il reste à mener sur le terrain.
Ainsi, la Ceba garde-t-elle un oeil vigilant sur l'évolution des Près salés ouest à La Teste-de-Buch. « Nous demandons à ce que l'écosystème soit protégé et que l'on reste fidèle à la convention passée avec l'État », résume Françoise Branger, vice-présidente de la Ceba et présidente de l'Association bassin d'Arcachon écologie.
La coordination rive également son regard vers Andernos-les-Bains suivant le projet du golf, la sauvegarde du site des Quinconces et l'extension du port du Betey.
Liste non exhaustive
À Audenge, son attention reste aussi soutenue. « Nous souhaiterions que l'ensemble des communes qui ont déversé leurs déchets au centre d'enfouissement participent aujourd'hui à sa réhabilitation », expose Jean Mazodier. Attentif aux coupes d'arbres sur le site du Truc vert au Cap-Ferret, le président de la Ceba dresse une liste non exhaustive des sujets sensibles : disparition des zostères, comblements des esteys et de manière plus générale la question de l'eau douce.
Une question que la structure a pris à bras-le-corps en éditant un document de référence récapitulant toutes les préoccupations idoines : abaissement de la nappe aquifère du sable des Landes, hausse des températures des eaux souterraines, pollution, industrie, effluents rejetés en mer, etc.
Wharf et Natura 2000
« Nous avons une vision globale », avance Jean Mazodier, qui aspire à ne pas représenter que des associations de défense mais entend également anticiper les problématiques.
Également coordinatrice du collectif Aquitain contre les rejets en mer, Françoise Branger a fait, à l'issue de l'assemblée générale de la Ceba, un point sur les actions plus spécifiques maritimes. « Nous avons été associés au groupe de réflexion sur le suivi phytosanitaire du bassin d'Arcachon mis en place par la sous-préfecture. Nous sommes également intervenus dans le cadre des effluents du Wharf de la Salie. Notre demande de création d'une commission locale d'information et de surveillance (Clis) a été suivie des faits. »
Et Françoise Branger de rappeler que le Wharf se devait d'être intégré dans le périmètre Natura 2000 car en connexion directe avec le Bassin. La réalisation de la cale de mise à l'eau de Couach et le traitement de vases portuaires à Gujan-Mestras restant, par ailleurs, à l'instar du bassin décanteur du site de Saint-Brice à Andernos-les-Bains, dans le giron du collectif. « Nous sommes enfin très vigilants quant à la récente mortalité des poissons sur les côtes landaises et basques », conclut Françoise Branger.
Auteur : SABINE MENET
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COMMUNIQUE D’URGENCE
Lundi 1er Décembre 2008


Lège Cap Ferret
NOTRE PATRIMOINE FORESTIER EST EN DANGER



L’ONF est en train de faire raser plusieurs hectares de la parcelle 101 située au bout de l’avenue de l’océan autour de la piste cyclable contre le pare feu central.

Cette coupe rase est la coupe de trop pour les habitants de la commune.

Protection et aménagement de Lège Cap Ferret, le collectif Piraillan Forêt ainsi que la municipalité ont tenté depuis trois ans une concertation avec l’ONF; une fois de plus nous n’avons pas été écoutés, plus nous avons été trompés.

Malgré le classement et l’inscription du site à NATURA 2000, l’ONF a passé outre et à vendu en douce le bois à son complice la SMURFITT bien connu des habitants du bassin d’Arcachon pour ses pratiques corrosives.

L’abattage est en cours; en ce moment, se produit l’irréparable, la coupe et la destruction des arbres qui vous ont tellement plus l’été dernier lors de vos ballades en forêt sur les pistes cyclables.

Nous demandons l’arrêt immédiat de cette coupe et la mise en place d’une concertation dans le cadre d'un guide de recommandation paysagère pour la gestion forestière comme il est fait pour la forêt en pays de la Teste de Buch.

Notre patrimoine et nos espaces de nature ont été confiés par l’Etat à l’ONF qui se préoccupe plus de la survie de ses emplois et des ses finances que ce pourquoi il a été créé, cela au détriment de notre presqu’île du Cap Ferret.

Rejoignez le site de coupe et manifestez vôtre réprobation à la destruction de notre forêt, il est toujours temps d’agir pour le respect de nôtre environnement.


Collectif de Piraillan Forêt
06 11 808 567
Protection et Aménagement
06 07 89 96 69
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Le wharf de la Salie exclu


NATURA 2000 MER. --Le dossier a été adressé, mercredi, par le ministre de l'Écologie à la commission européenne. Le wharf de la Salie n'est pas dans le périmètre retenu

Le wharf est exclu :Bernadette Dubourg


Deux mois après la fin des consultations des élus sur le périmètre proposé pour Natura 2000 mer sur le bassin d'Arcachon, le ministre de l'Écologie a transmis, avant-hier mercredi, le dossier à la commission européenne à Bruxelles qui doit l'avaliser.
Le wharf de la Salie ne figure plus dans le périmètre retenu, comme l'avaient réclamé les élus, et comme l'avait voté le Conseil municipal de Gujan-Mestras. Ce qui contrarie plusieurs associations (lire notre encadré).

L'ajout du wharf dans le périmètre Natura 2000 ne serait pas scientifiquement fondé


Données scientifiques. « Le wharf n'était pas dans la proposition initiale du Museum national d'histoire naturelle. Il a été rajouté lors des phases de concertation, sans que l'on puisse fonder scientifiquement ce rajout » rappelle le sous-préfet Philippe Ramon. Des ostréiculteurs et des associations avaient, notamment, souhaité ce rajout lors d'une réunion en février à laquelle plusieurs élus, pourtant invités, n'avaient pas assisté. Ils avaient dénoncé une « concertation dans la précipitation » et un manque de temps, en période pré-électorale.
« Le périmètre Natura 2000, rappelle le sous-préfet, est une zone où il y a présomption d'un habitat protégé ou d'espèces protégées (fondement des deux directives européennes), sur la base de données scientifiques mais pas d'un véritable recensement. Or la présomption que la zone du Wharf de la Salie est susceptible d'accueillir des habitats ou des espèces protégés est loin d'être suffisamment étayée ».
« En revanche, précise Philippe Ramon, tout ce qui est susceptible d'influencer l'habitat et les espèces protégés à l'intérieur du périmètre doit faire l'objet d'une étude d'incidence. Le Wharf, cela va de soi, en fait partie » (lire ci-dessous).


La surveillance du Wharf. Les effluents du bassin d'Arcachon rejetés à la Salie ne sont pas sans surveillance. Le sous-préfet rappelle les travaux engagés par le Siba et Smurfit auxquels s'ajoute l'actualisation de l'étude Sogreah sur la modélisation des dispersions.
La dernière étude de 1997 montre que dans la configuration la plus défavorable, avec un faible coefficient de marée et un fort vent de sud, le taux de dilution des rejets du wharf est de 0,10 unité par litre après le banc d'Arguin, contre 100 unités par litre à la sortie du Wharf.
Le principe de cette étude d'incidence, même si elle n'est pas obligatoire tant que la commission européenne n'a pas validé le périmètre de Natura 2000, sera présenté à la CLIS (Commission locale d'information et de surveillance) qui se réunit le 25 septembre prochain (1).
C'est également après la validation de Natura 2000 mer que sera élaboré le document d'objectifs (Docob). C'est lui qui détaillera les zones à enjeu de protection importante et pourra même retirer certaines zones. La gestion du Docob sera assurée par l'État ou une collectivé locale comme le Conseil général ou le Siba.
(1) Cette date a été décidée en juin, bien avant que l'avocat des ostréiculteurs, dans sa plainte pour pollution, demande la réunion de la CLIS « sous quinzaine ».

SUD OUEST du 29/08/2008
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Remise du prix Mazodier à Patrick Glotin


Jean Mazodier remettant le prix à Patrick Glotin à la fin de l'AG 2008


VU DANS LA PRESSE
LÈGE-CAP-FERRET

Sud ouest 26 Aout 2008
Un documentaire primé
Patrick Glotin a reçu le prix Mazodier de la Fondation Capitaine de vaisseau

Par : Annie Peyras

Nord-Bassin
La Fondation Capitaine de vaisseau Pierre Mazodier remet tous les ans un prix à une personne pour souligner ses actions. L'an dernier, le président de l'Amicale de la Flotte, Christian Plouvier, l'avait reçu pour la réhabilitation du voilier la «Flotte13».

Célébrités locales.
Cette année, Patrick Glotin s'est vu récompensé pour le très beau film documentaire qu'il a tourné sur le Cap-Ferret et sur des figures locales célèbres. Ce film, enregistré en DVD, est disponible au public dans les maisons de la presse de la presqu'île.
Patrick Glotin, en vacances au Pays basque, «car, dit-il, il y a trop de monde au Cap en juillet et en août», est venu spécialement pour recevoir son prix, un chèque de 300euros. Il voudrait que ce chèque soit remis à la Société nationale de sauvetage en mer, un geste que l'assistance a salué.
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Quelques photos de l'AG 2008


UNE SALLE BIEN REMPLIE
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Quelques photos de l'AG 2008


UNE AUTRE VUE DE LA SALLE

A DROITE DU PRESIDENT MAZODIER LE PREFET PH.RAMON
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VU DANS LA PRESSE

SUD OUEST
Jeudi 21 août 2008 Bassin d'Arcachon


LÈGE-CAP FERRET
.......--L'urbanisation de la presqu'île et du Bassin préoccupe l'association de protection et d'aménagement Esprit local en danger
:Annie Peyras


Il y avait un peu moins de monde cette année que la précédente, lors de l'assemblée générale de l'association de protection et d'aménagement de Lège-Cap-Ferret qui a eu lieu jeudi dernier.Comme pour les autres assemblées (CODEPPI et ASYNPRO) qui se sont tenues quelques jours, voire quelques heures plus tôt, le devenir et la préservation du Bassin et de la presqu'île ont été au centre des débats.

Forte de 750 adhérents, cette association, présidée par Jean Mazodier, participe activement à divers dossiers. Elle propose ses idées aux élus du Bassin mais aussi aux administrations départementales et régionales.

Préserver le territoire.

Le souhait de l'association est de léguer aux générations futures cet esprit ferret capien et ce territoire pareil à nul autre.
Dans cette optique, les membres ont approuvé sans restriction le plan Natura 2000 Terre et mer.
Dans son rapport, le président Jean Mazodier a dénoncé un nouveau projet de construction dont le permis a été signé, route de la Vigne.
Il a critiqué également les clôtures érigées à des hauteurs démesurées et pleines (1) qui fleurissent un peu partout, prenant comme exemple celle construite récemment sur le boulevard de la Plage.
Jean Mazodier a interpellé les ostréiculteurs qui auraient pu profiter de cette période de fermeture de la vente des huîtres pour nettoyer leurs parcs.

Prise de conscience.

« Le Ferret est affreux ! Affreux ! » s'est écriée une résidente qui y vient depuis 50 ans. On a même entendu dans la salle : « Il faudrait créer une brigade de démolition des clôtures non autorisées. »Michel Sammarcelli (2) est conscient que le Bassin et le Cap Ferret, notamment, sont trop urbanisés et que le trop gros flux de touristes les met en danger.
Le PLU (Plan local d'urbanisme), « annulé pour une virgule, a déclaré le maire, doit être redéposé très vite, car, pour l'heure, c'est l'ancien plan d'occupation des sols qui fait référence et les promoteurs commencent à en profiter. »
D'autres sujets, très ferret capiens ont été évoqués tel que le fait d'interdire le stationnement sur le boulevard de la Plage, entre le 14 juillet et le 15 août, ou encore le débordement des milices privées commanditées pour surveiller des établissements privés et qui interviennent sur la voie publique.
Pour la première fois, il n'y a pas eu d'apéritif ferret-capien à l'issue de l'assemblée, faute d'huîtres, alors interdites à la vente.

(1) Le cahier des charges stipule que les clôtures doivent être en dur sur 60 cm et le reste à claire-voie.
(2) Le sous-préfet Philippe Ramon et le conseiller général Christian Gaubert sont également intervenus au cours de cette assemblée.
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EDITORIAL

Après la révélation des dangers du réchauffement climatique pour la planète et du non renouvellement des énergies fossiles, après le Grenelle de l’Environnement et les engagements de l’Etat au-delà des espérances des défenseurs de la “Planète Bleue”,après la mise en place d’Agendas 21 et de politiques de développement durable, il faut maintenant sur le terrain prendre les décisions opérationnelles.
Sur la Presqu’île, beaucoup a déjà été fait pour préserver un cadre de vie naturel. Mais il faut continuer les efforts, les rationaliser, les expliciter, pour que chacun, à titre individuel, participe à ce combat qui s’impose à tous.
Ce sera l’occasion d’en débattre au moment du renouvellement des équipes municipales.
Pour notre part, nous avons élaboré un certain nombre de propositions.
Dans la première partie du bulletin, nous avons rendu compte des travaux de notre Assemblée Générale du 10 août. Ils ont été riches en propositions, en témoignent les
nombreuses questions posées et les réponses apportées, témoignages du vécu quotidien.
Dans la deuxième partie, nous rendons compte des actions entreprises au cours du
2e semestre 2007, et nous avons conservé notre rubrique “Les Echos de la Presqu’île”.
Au-delà des problèmes de protection et d’aménagement, objet de notre Association, il faudra aussi réfléchir à l’évolution constatée ces dernières années.
Si Lège bourg est devenu un vrai village, si les villages de Claouey, Piquey, Le Canon se développent harmonieusement, l’évolution du Cap Ferret est préoccupante : sur occupation en saison et déclin en hiver
• diminution des populations sédentaires : départ des anciens suite à la montée vertigineuse des prix, et aux problèmes de successions,
• non fixation des jeunes ménages pour des raisons de logement,
• remplacement progressif d’une fréquentation régionale, par une fréquentation nationale voire internationale,
• et fermeture hivernale de magasins et de restaurants.
Si l’on ne veut pas que le Cap Ferret se transforme en vitrine et ne vive que quelques mois par an, il va falloir trouver les moyens de revitaliser ce village qui tient une très grande place dans nos coeurs.
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